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Bon, on fait " pause, replay". Et on essaye de comprendre le film. Mais, après tout, ce n'est peut-être pas le bon film. Ni le bon scénario. Pas le bon cinéma, ni les bons acteurs. Et si c'était simplement la vraie vie...Ni pause, ni replay.... Pour comprendre le film, je crois que c'est...
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Naître, c'est juste accepter de mourir, mais, entre les deux, il y a tant de choses à faire, tant d'espaces où être, tant d'âmes sœurs à rencontrer, tant de vies à vivre, d'espoirs à goûter, de goûts sur notre palais, d'odeurs dans nos narines, de sons dans nos oreilles. Tant de bruits,...
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Dire ou taire, entre la terre et l'amer, j'ai perdu pied dans les sables émouvants.
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Un, c'est ce que l'on croit être, et puis deux s'en vient, l'on croit que, peut-être, ce sera bien. Et l'on se retrouve trois, c'est à peine si l'on y croit. Lors, on se retrouve à l'étroit entre toi et trois, pas à l'endroit où l'on a rêvé d'être, et quand le soir s'éteint, juste à...
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Rien n'est jamais écrit d'avance. Chaque matin, on se lève et on écrit une nouvelle page et notre vie est ce que l'on en fait. C'est à la fois tellement simple et tellement compliqué. Plus facile de croire en la " destinée "... Demeurer debout est un choix, rester vivant l'est tout autant.
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Le loup blanc : légende amérindienne
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Mon ombre, qui marche dans mes pas, traçant derrière moi ce sinistre sillage, se glissant dans mes traces, me laissant peu de place, vampire de ma vie, mon ombre épanouie, lâche-moi, je t'en prie. Ne dessine pas sur mon chemin tes étranges desseins. Me faudra -t -il, demain, éteindre toutes...
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Vous, les briseurs de vie, qui nous attendez au bord du chemin, sachez que votre chemin n'est pas le nôtre. Qu'il y a des chemins et qu'il y en a d'autres. Sachez que rien n'atteint les buveurs de rêve, les gobeurs d'espérance, tous ceux qui crèvent en éternelle errance, qui s'épuisent à...
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Je suis une " guerr' hier ". Je gère mes guerres d'hier. Et je gal'erre, galère d'air en taire, les" taire" de mes aïeux Où sont-ils, eux? Juste un silence chuchoté, une absence suggérée, un vide comme un gouffre. Pourquoi est-ce que je souffre?
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Un espace entre taire et mère, l'estran. Puis la jetée. L" estrangeté ", rebuts de la marée, dans le sable enlisés, qui resurgissent aux plages de l'été. Quand donc as-tu été, toi qui ne connais que l'hiver et qui vis à l'envers, dérivant au gré de ton passé aux confins de plages...