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.... " Alors cet oiseau d'ébène, par la gravité de son maintien et la sévérité de sa physionomie, induisant ma triste imagination à sourire: " Bien que ta tête, - lui dis-je, - soit sans huppe et sans cimier, tu n'es certes pas un poltron, lugubre et ancien corbeau, voyageur parti des...
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Des nuages de bruits tonnent à l'infini, silence des non-dits. Des rages s'évaporent, brûlant de feu et d'or, aux franges des " encore ", encore et encore plus quand dansent, éperdus, des rêves à demi nus. Lors, la terre se fait lise et doucement t'enlise, t'ensevelis, te grise. Des nuages de...
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J'ai besoin d'ancre pour fixer mon bateau, de ponton où pouvoir l'attacher. J'ai besoin de terre sous mes pieds, ni lises, ni sables mouvants. J'ai besoin de rampes, de barrières, de palissades, de grands murs bétonnés où je puisse, sans m'étonner, tout doucement me reposer, mon corps et ma...