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Le vide.
Un gouffre.
Un espace aride,
un lieu où souffre
en nous le guerrier souverain,
à genoux, rendant les armes,
se fondant, c'est certain,
dans de corrosives larmes.
L'arme,
se saisir d'elle.
Elle sonne l'alarme
de nos explosions d'ailes,
d'elles, aussi, je crois.
En rémiges brisées
et pennes en effrois,
on peut encore voler.
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