• Juste une histoire à raconter....
    Il était une fois... ( les histoires commencent souvent comme cela... )
    Il était une fois, une petite fille qui venait de naître.
    De douces fées, autour de son berceau.... et une méchante fée, la fée " à maléfices " qui déclara: " Quoi qu'il advienne, tu seras toujours coupable et tu vivras, dépourvue d'Amour! " Et la petite fille erra, erra, courbée sous ce lourd bagage. Elle erra longtemps, très longtemps...
    Puis vint le jour où, sur son ...chemin, elle rencontra une armée d'anges. Armée d'anges d'Amour. Anges, armés d'Amour. Et, par la grâce du rêve éveillé, le maléfice s'évapora et au coeur de ce cercle d'anges, la petite fille vécut sa renaissance... Re-naître, ... naître à nouveau, et co-naître.... naître avec les présents.. ( de beaux cadeaux, en vérité! ) Alors, la petite fille ouvrit doucement les yeux et découvrit un monde nouveau, un monde de joie, de vie, un monde où être soi, inondée de lumière.
    Morale de l'histoire ( il y en a toujours une... ) :Même dans la détresse, n'oubliez jamais de croire, de croire en la lumière, de croire aux contes de fées, de croire en la parcelle divine au plus profond de vous et répétez-vous: " Je suis".... jusqu'à " l'Etre " !
    Les anges se reconnaîtront. Ils s'appellent: Conrad, Sophie et tous les beaux présents de ce jour.
    Grâce et merci à eux. Namasté !


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  • Tu marches doucement,

    à petits pas comptés,

    dans un brouillard givrant

    sur le pont des allers.

    Et le sol, sous tes pas,

    s'effondre lentement,

    jamais ne reviendra

    ce doux enchantement

    qui avait fait de toi,

    dans un fragile instant,

    dans un éclat de joie,

    un doux être vivant.

    Le temps s'est écoulé,

    voguant à contre-route

    et tu fuis, balloté,

    sur la vague des doutes.

    Il y eut un avant,

    ne sera nul après,

    le sachant, maintenant,

    tu te sens, enfin, prêt.

    Sur ce pont tant étroit,

    point de retour possible,

    entre toi et toi,

    plus rien de perceptible.

    C'est la fin du voyage,

    le bout de tes errances,

    quand plus aucun message

    n'apaise ta souffrance.

    Que dit l'Autre en criant

    ses espoirs de survie,

    est-ce un appel, un chant?

    Tu n'entends qu'à demi.


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