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Le peintre qui parcourt, à grands pas, la forêt, colorant, tour à tour, la chênaie, les bosquets, a-t-il vraiment l'espoir de nous garder en vie quand paraît la nuit noire aux confins de l'oubli? Quand la sève descend sous l'écorce glacée, lorsque plus aucun...
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L'aria de la peur. L'aria de la peur résonne comme un cri aux confins des ailleurs, aux portes de l'oubli. Dans les canaux brisés de mémoire d'enfance, des gouffres avinés ... exhalent en silence leurs senteurs iodées, nacrées de soufre gris, témoins d'un lourd...
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Les briseurs... Il y a les briseurs de rêves et les briseurs d'illusions... Les briseurs d'illusions, quand ils apparaissent à l'horizon, sont les bienvenus, les porteurs de raison. Et même s'ils font mal, parfois, nous glacent un peu d'effroi, ... nous font froid dans le...
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L e peintre s’est noyé dans l’huile en se livrant à sa passion, le peintre s’est noyé dans l’huile entre portraits et frondaisons. Sous les splendeurs alizarines dont il parait son goémon, il a coulé dans ses marines, on dit qu’il a touché le fond. Ton regard caressant sa...