• " Alix... " , à consommer sans modération...  Lol ....


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  • Et demain est un autre jour,

    se profilant à l'horizon,

    sans facétie et sans détour

    et sans l'ombre d'une illusion.

    Demain est un jour sans amour

    aux senteurs glauques de mon cœur,

    serait-ce là mon dernier jour

    l'ultime errance de ma peur?

    Demain, demain, nous rêvons tous,

    au creux de nos nuits sans espoir,

    de ce geste ami qui nous pousse,

    nous extirpe du  désespoir.

    Nous sommes, tous, seuls en errance,

    isolés dans l'adversité,

    il nous reste une seule chance:

    nous savoir, encore, tant aimés!

    Demain n'est rien, à cet instant,

    juste le vide sous mes pas,

    faites-m'en un tendre présent,

    pépite au centre des gravats...


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  • Un texte de Charlie Chaplin:

    " J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublié des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçue par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J 'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai été aussi repoussée. J'ai aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de joie, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisée le cœur tant de fois! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial que j'ai fini par perdre... Mais j'ai survécu et je vis encore! Et, la vie, je ne m'en passe pas..............


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  • Il n'est ni temps, ni lieu où se sentir aimé, dans l'univers glauque de la maltraitance, dans l'espace glaçant des souvenirs d'enfance.

    Il n'est point de repos, de trêve, d'oasis, dans le désert de la désespérance.

    Chaque pas en avant nous ramène à la source. Nous resterons errants, quelle que soit notre course.

    Il n'est ni temps, ni lieu où pouvoir vivre un peu, dans l'incandescence du présent qui danse sous nos yeux.

    Tout nous est interdit, et la joie, et l'envie. Condamnés à l'exil, sur des terres arides, nous marchons sur un fil tendu entre deux vides.


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